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Часть текста: de la traduction, non de la nouvelle). Il ne suffit pas de connaître à fond le russe - il faut encore être grand styliste soi-même, pour faire quelque chose d'aussi complètement réussi. Cette bonne fortune m'a fait venir l'eau à la bouche - et voici ce que je me permets de vous proposer. Je serais très heureux de me faire connaître au public allemand par { Далее зачеркнуто: l'introduct} l'entremise d'un introducteur aussi excellent et aussi populaire que vous l'êtes - et si vous vouliez faire un choix de mes nouvelles pour les publier, je serais enchanté de tenir à votre disposition la somme que vous jugeriez suffisante pour vos honoraires - car je sais bien que les éditeurs actuels ne sont guère disposés pour tout ce qui est russe et ne se chargeraient tout au plus que de la publication. Si cette idée vous paraît acceptable, dites-moi un mot 2 . - Quant à moi, je pourrais aller...
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Часть текста: en s'alliant depuis une quinzaine de jours avec le froid, ce qui fait un mêlange fort dêsagrêable. La terre est dure, le ciel morne, les arbres sont à demi morts et le vent se dêmène avec une aigre violence - tout cela est laid "and I am disappointed in my sport" 2 - ce qui m'obligera de m'enfermer et de prendre la plume plus tôt que je ne le supposais. Ce serait une consolation, si j'êtais sûr de faire quelque chose de bon. Enfin, je tâcherai. - Feth est à Spasskoïê et nous allons tenter la fort une demain; il paraît qu'il y a des perdrix à une dizaine de werstes d'ici; il vous prêsente ses hommages les plus respectueux 3 . Je ne puis pas m'habituer encore à l'idêe de me retrouver dans mon vieux cloître, et mes sensations et mes idêes, secouêes par ce long voyage, tourbillonnent encore comme ces Petites paillettes qui se trouvent dans l'eau de vie de Dantzik,-- rues affections seules n'ont pas bougê et je les ressens plus vivement que jamais. Il ne se passe guère une heure que je ne songe à Courtavenel et à tout ce qui s'ensuit. My heart is in the Highlands 4 , comme dit la chanson. La fameuse grande lettre 5 et la copie de "Krakamiche" 6 ne partent pas avec le courrier d'aujourd'hui, mais je vois venir huit grandes semaines, toutes blanches et vides comme des feuilles de papier, sans visites, sans communication d'aucune espèce....
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Часть текста: Chere et bonne Madame V - j'ai appris par nne lettre de la p-sse Mestcherski 1 le depart de votre mari - et par "L'Abeille du Nord" le jour de votre benefice 2 - je vous avoue, sans vouloir vous faire le moindre reproche, que j'eusse prefere savoir tout cela par vous. - Mais vous vivez dans un tourbillon, qui prend tout votre temps - et pourvu que vous ne m'oubliez pas - je ne demande rien. - Votre pauvre mari n'a donc pas ete en etat de resister au climat de Pg - il faut esperer qu'il se porte parfaitement a l'heure qu'il est. - La p-sse M m'ecrit aussi que vous avez l'intention de demeurer a Moscou dans la maison d'une princesse Galitzine 3 - est-ce vrai? - L'argent que je dois a votre mari: 150 r arguent) pour le fusil, 400 pour la pension de la petite jusqu'au 1-er mars 1854 et 35 r arg (142 frs 45 cent.) qu'il avait depenses en plus. de ce que je lui avais envoye - en tout 585 r arg - sera chez moi dans trois jours - je vous l'enverrai mardi prochain, c'est a dire le 24 fevrier - et vous l'aurez a Petersbourg avant votre depart pour Moscou 4 . N'oubliez pas, s'il vous plait, de me donner votre adresse ...
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Часть текста: la célébration du mariage de ma fille. Vous avez été retenu - et à en juger par la triste communication que j'ai reèue de vous et pour laquelle je vous prie de recevoir mes compliments de condoléance - je crois en comprendre la raison. J'ai quitté Paris le jour même du mariage - et je suis maintenant sur le point de partir pour la Russie, où m'appellent de graves intérêts personnels 1 . Je ne puis me figurer quelle espèce de proposition on a pu faire de Pétersbourg à propos de mes romans, et je serai fort reconnaissant, si vous vouliez m'en dire un mot. Malheureusement, je n'ai aucun travail à vous offrir; celui que j'ai entrepris est très loin d'être terminé: je n'ai presque rien fait cet hiver 2 . Il faudra que je tente ma fortune beaucoup plus tard et en attendant je vous prie de recevoir avec mes remercîments l'expression de ma plus haute considération. J. Tourguéneff. P. S. Présentez, s'il vous plaît, mes meilleurs compliments à Mr Buloz. Перевод с французского: Баден-Баден. Шиллерштрассе, 277. 10 марта 1865. Милостивый государь, Прежде всего прошу вас извинить меня за то, что я не ответил на ваше письмо от 18 февраля; в Париже у меня было столько дел, и притом я надеялся увидеть вас в церкви на бракосочетании моей дочери. Вы были задержаны - и судя по печальному извещению, полученному мною от вас и по поводу которого я прошу вас принять мои соболезнования,-- я понял, мне кажется, причину этого, Париж я покинул в самый день свадьбы, а теперь собираюсь ехать в Россию, куда меня призывают важные личные дела 1 . Не могу себе представить, какого рода предложение могло...
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Часть текста: 1867 г. 1943. ПОЛИНЕ ВИАРДО 14, 15(26, 27) марта 1867. Москва Moscou. Au comptoir des Apanages. Boulevard Pretchistenski. Mardi 14/26 mars 1867. Ouf! chère Madame Viardot, quelles journées je viens de passer! Je vais vous les raconter en détail. Vous vous rappelez que je devais partir samedi pour Spasskoïe. Je me suis mis en route en effet, vers 5% h avec un valet de chambre et mon intendant 1 . Il y a un chemin de fer qui va d'ici à une ville nommée Serpoukhoff - à 90 verstes de Moscou; un traîneau couvert m'y attendait pour continuer le voyage. Je ne me sentais pas bien dès le matin; à peine établi dans un wagon, je fus pris par une toux violente qui ne fit que croître et embellir; arrivé à la gare de Serpoukhoff qui se trouve à 4 verstes de la ville, je m'installai pourtant dans mon traîneau; mais grâce aux épouvantables oukhabi (vous savez ce que c'est) de ces affreuses 4 verstes, j'atteignis Serpoukhoff avec une vraie fièvre de cheval. Impossible de songer à continuer le voyage. Je passai une nuit blanche dans une misérable chambre d'auberge avec 100 pulsations à la minute et une toux qui me brisait la poitrine et dès 7 heures du matin, je dus dans ce triste état me soumettre de nouveau à la torture des "oukhabi" et regagner plus mort que vif le chemin de fer et Moscou. La maison deMasloff me sembla un vrai paradis après cet enfer 2 -- j'envoyai vite chercher un médecin - et grâce aux sudori-fiques, purgatifs et autres...